Les non-dits de la Poche

Falaise-Chambois

 Un devoir de mémoire

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Forces en présence

 

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Les forces alliées totalisent 37 divisions dont 12 blindées, soit 600 000 hommes et 4 000 chars. Leurs flottes aériennes comprenaient au total douze mille appareils.

Bien que très fortement affectées par la guerre d'usure qu'elles subissent, les troupes alliées restent quasiment à 100% de leur capacité grâce à la puissance du système de ravitaillement.

Le moral est très haut depuis la victoire de Patton à Avranches, et son échappée en Bretagne.

En face, seuls les Waffen SS souhaitent contre-attaquer efficacement.

Chez les Alliés, le commandement suprême des armées de terre, air et mer, était assuré par le général Eisenhower. Le général Montgomery commandait l'ensemble des forces terrestres réparties en deux groupes : le 21e groupe d'Armées britanniques et le 12e groupe d'Armées américaines.

Le premier était formé de la 2e Armée anglaise et de la 1° Armée canadienne. (http://fr.wikipedia.org/wiki/Poche_de_Falaise)

Le second était formé des 1° et 3° Armées américaines. (http://fr.wikipedia.org/wiki/Poche_de_Falaise)

Le général Montgomery donnait directement ses ordres aux armées anglaise et canadienne tandis qu'il passait par l'intermédiaire du général Bradley pour passer ses ordres aux Armées américaines.

Sur le papier, la Wehrmacht aligne 28 divisions dont 10 blindées et une Panzer Grenadier, mais il ne s'agit, le plus souvent, que de débris.

Le personnel était réduit à 60 % de l'effectif nominal : on l’estime au maximum à 250 000 hommes. Il restait aux Allemands environ six cents chars et leur flotte aérienne ne comptait pas plus de trois cents appareils.

Leur moral est amoindri par l'échec de la contre-attaque de Mortain, et certaines unités ont connu des redditions massives pendant la progression des Américains.

L'armée allemande pèche sur le plan logistique : avec une faible capacité d'approvisionnement en munitions et une incapacité quasi-totale pour remplacer les pertes en hommes et en matériels. Certaines unités d'infanterie étaient équipées en moyens de locomotion hippomobiles. D'autres, affectées initialement à la défense des côtes ne disposaient pas de moyens de locomotion.

Chez les Allemands, le chef suprême des Armées était Hitler qui envoyait ses ordres au chef des Forces allemandes à l'ouest en Europe (OB West), les maréchaux Gerd von Rundstedt, puis Paul Von Kluge, et en fin, Walter Model.

La supériorité numérique alliée est totale sur terre, et aussi dans les airs.

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